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Des livres, un auteur
28 mai 2015

A VENDRE - Extrait n°3

Ses yeux brillent et ne quittent pas les miens, suppliants. Je passe une main sous son tablier : elle est tellement trempée que ça coule le long de ses cuisses. C’est vraiment un phénomène cette nana ! Je lui prends le menton entre le pouce et l’index :

—    On y viendra vite, ne t’inquiète pas. Par contre, je risque d’abîmer les montants en bois de ton lit si je te ligote avec des chaînes là-dessus.

—    Je m’en fiche, attache-moi ! me répond-elle en se collant contre moi.

—    Pas tout de suite. Pour l’instant on va redescendre au salon, je vais m’asseoir dans le fauteuil et tu vas nous servir l’apéro, d’accord ?

—    Ok. Et, maintenant que tu as visité, je veux que tu te sentes en territoire conquis. Tu es chez toi. Circule librement, prends tes aises.

 

Nous redescendons et je m’installe dans le fauteuil en l’attendant. Elle a visiblement tout préparé puisqu’elle arrive avec un plateau chargé qu’elle pose sur la table basse. Elle me sert un whisky. Je la regarde en lui montrant le chiffre deux avec mes doigts :

—    Deux glaçons.

 

Elle ajoute ces derniers et me tend le verre. Puis elle se sert à son tour :

—    Pose ton verre ! Ce n’est pas comme ça que tu dois me recevoir. ôte ton tablier et viens là, défais-moi !

 

Elle se penche et commence à dégrafer ma ceinture.

—    Pas comme ça ! A genoux !

 

Elle obéit et poursuit ce qu’elle a commencé. Devenu enfin accessible, elle me prend dans sa bouche pendant que j’avale ma première gorgée de whisky.

—    T’es pas mieux ici en train de me sucer au lieu d’être chez ta mère ?

—    Ne parle pas de ma mère pendant qu’on fait ça !

—    Pourquoi ?

—    Parce que c’est indécent.

—    C’est justement ce qui me plaît. Rassure-toi, y a des chances pour qu’elle ait fait la même chose.

—    Je ne veux pas le savoir.

—    Suce !

 

Je viens de trouver un de ses points faibles : lui parler de sa mère pendant des actes sexuels. Elle a raison, oui, c’est indécent mais j’ai toujours assumé mon côté pervers sans jamais m’en cacher. Ce soir, je suis persuadé que je peux même la faire pleurer en jouant de cette corde sensible. Je viens d’avoir un nouveau moyen de pression sur elle et dans le type de relation que nous sommes en train de mettre en place, il est essentiel pour moi d’avoir des leviers de ce type pour agir sur sa psychologie. Quelque chose me dit qu’elle a beaucoup à me révéler mais elle ne le sait pas encore. Je lui tire la tête en arrière en la saisissant par la natte :

—    Ça suffit, c’est très bien ! Mais je n’ai pas envie de jouir dans ta bouche, du moins pas maintenant. Lève-toi et tends ton cul !

 

Elle se positionne de dos, face à moi, se penche en avant du mieux qu’elle peut et écarte ses fesses de ses deux mains. Délicatement, je tire sur le gode noir en forme de grenade. Il vient à moi doucement et, alors qu’il allait sortir, je le pousse d’un coup sec jusqu’au bout.

—    Han !

 

Je refais ce brutal va-et-vient à plusieurs reprises. Enfin, quand elle cesse d’émettre la moindre plainte, je lui retire entièrement l’accessoire :

—    Écarte mieux !

 

Elle est largement ouverte. Ne m’étant pas rajusté, le sexe tendu, je suis prêt à la pénétrer. Je serre mes jambes et je les passe entre les siennes :

—    Empale ton cul sur mon sexe !

 

Elle recule pour mieux se rapprocher de ce dernier alors que je la guide en lui tenant les hanches. Elle saisit d’une main ferme ma verge tendue comme un string et la guide entre ses reins. Sans effort, elle glisse dessus tout naturellement, me laissant s’enfoncer en elle sans forcer. Je lâche ses hanches la laissant entamer ses va-et-vient, avant de reprendre mon verre pour le finir.

Hum, comme il est doux de se laisser aller ! La vue de ces fesses qui s’empalent me fait me durcir davantage. El Diablo est à son comble :

—    T’as pas ton pareil pour te mettre en appétit à l’apéritif ! Mate-moi ce cul ! T’as vu comme elle te l’a bien préparé ? Elle est méritante cette petite, elle y met vraiment du sien pour te plaire.

—    Je vois ça, et j’en suis très satisfait. Au-moins je lui aurais remonté le moral. Je suis sûr qu’elle ne pense plus à la rupture avec son ex !

—    J’avoue que tu as l’art et la manière de lui changer les idées ! Elle ferait une excellente candidate à un gang bang !

—    L’idée m’excite !

—    La livrer à dix, quinze, vingt hommes ! Ils la prendront en tous sens. Elle te suivra, et tu la fouetteras pour avoir donné du plaisir à d’autres hommes sur ton ordre.

—    Je sais Diablo…

—    … et elle aimera ça, tu verras. Pour l’instant, montre lui qui est son Maître, écarte-lui donc les fesses, ça te fera aller plus loin en elle. Allez, vas-y, elle va aimer !

 

Estimant que l’idée est bonne, je pose mon verre et, alors qu’elle poursuit ses allées et venues en glissant aisément sur ma verge inondée de cyprine due à mon excitation, je passe mes mains sous son corps et s’écarte les deux globes. L’effet est immédiat !

—    Han ! Oh oui !

 

Elle accélère le mouvement mais je vois qu’elle commence à fatiguer.

—    Arrête-toi. Reste empalée, ressers-moi un verre et bois un coup.

 

Bien prise, elle assure le service en évitant de trop se pencher :

—    Je suis bien comme ça. J’aime te sentir en moi.

 

Je trempe deux doigts dans mon verre de whisky et je lui caressai le clitoris :

—    Oh putain mais c’est trop bon ça !

—    Masturbe-toi au whisky de temps en temps, tu m’en diras des nouvelles !

 

Elle boit une gorgée et reprend ses va-et-vient se penchant davantage en avant. J’ai une vue imprenable ! Un cul magnifique qui est en train de s’enfiler sur ma queue dure comme du béton. Je lui tire sur la tresse pour qu’elle vienne se plaquer à moi et je lui murmure à l’oreille :

—    Tu aimes ce que je te fais !

—    Oui, encule-moi encore et encore. Mon cul sera toujours à ta disposition, alors sers-toi. Je veux te servir, te donner du plaisir. Te faire bander c’est me sentir belle. Te faire jouir c’est me faire désirer.

—    Putain, tu m’excites, toi, c’est pas possible, ça ! Je vais jouir, avale !

 

Elle se désarçonne, pivote sur elle-même, et s’agenouille juste à temps pour me recevoir dans sa bouche. Plusieurs longs jets m’échappent, provocant une décharge électrique tout au long de ma colonne vertébrale. Consciencieuse et gourmande, elle n’en perd pas une goutte :

—    Putain t’es trop bon toi, t’es toujours sucré !

—    Tu as bien mérité que je te fasse jouir !

—    Je m’en fiche, j’éprouve plus de plaisir à te satisfaire. Ça, c’est une chose que tu ne peux pas comprendre, l’adrénaline qui monte quand tu ordonnes et que je t’obéis, et enfin le résultat de toute cette servitude : ta jouissance, MA victoire.

—    Wouah, c’est beau ce que tu viens de dire !

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