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Des livres, un auteur

8 juin 2015

4è extrait - réservé

Envie de retrouver un 4è extrait de A Vendre?
Réservé en exclusivité pour la Max Heratz Fan-Page-Belgique vous la trouverez à cette adresse et pas ailleurs:
https://www.facebook.com/pages/Max-Heratz-Fan-Page-Belgique/791174591002100

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28 mai 2015

A VENDRE - Extrait n°3

Ses yeux brillent et ne quittent pas les miens, suppliants. Je passe une main sous son tablier : elle est tellement trempée que ça coule le long de ses cuisses. C’est vraiment un phénomène cette nana ! Je lui prends le menton entre le pouce et l’index :

—    On y viendra vite, ne t’inquiète pas. Par contre, je risque d’abîmer les montants en bois de ton lit si je te ligote avec des chaînes là-dessus.

—    Je m’en fiche, attache-moi ! me répond-elle en se collant contre moi.

—    Pas tout de suite. Pour l’instant on va redescendre au salon, je vais m’asseoir dans le fauteuil et tu vas nous servir l’apéro, d’accord ?

—    Ok. Et, maintenant que tu as visité, je veux que tu te sentes en territoire conquis. Tu es chez toi. Circule librement, prends tes aises.

 

Nous redescendons et je m’installe dans le fauteuil en l’attendant. Elle a visiblement tout préparé puisqu’elle arrive avec un plateau chargé qu’elle pose sur la table basse. Elle me sert un whisky. Je la regarde en lui montrant le chiffre deux avec mes doigts :

—    Deux glaçons.

 

Elle ajoute ces derniers et me tend le verre. Puis elle se sert à son tour :

—    Pose ton verre ! Ce n’est pas comme ça que tu dois me recevoir. ôte ton tablier et viens là, défais-moi !

 

Elle se penche et commence à dégrafer ma ceinture.

—    Pas comme ça ! A genoux !

 

Elle obéit et poursuit ce qu’elle a commencé. Devenu enfin accessible, elle me prend dans sa bouche pendant que j’avale ma première gorgée de whisky.

—    T’es pas mieux ici en train de me sucer au lieu d’être chez ta mère ?

—    Ne parle pas de ma mère pendant qu’on fait ça !

—    Pourquoi ?

—    Parce que c’est indécent.

—    C’est justement ce qui me plaît. Rassure-toi, y a des chances pour qu’elle ait fait la même chose.

—    Je ne veux pas le savoir.

—    Suce !

 

Je viens de trouver un de ses points faibles : lui parler de sa mère pendant des actes sexuels. Elle a raison, oui, c’est indécent mais j’ai toujours assumé mon côté pervers sans jamais m’en cacher. Ce soir, je suis persuadé que je peux même la faire pleurer en jouant de cette corde sensible. Je viens d’avoir un nouveau moyen de pression sur elle et dans le type de relation que nous sommes en train de mettre en place, il est essentiel pour moi d’avoir des leviers de ce type pour agir sur sa psychologie. Quelque chose me dit qu’elle a beaucoup à me révéler mais elle ne le sait pas encore. Je lui tire la tête en arrière en la saisissant par la natte :

—    Ça suffit, c’est très bien ! Mais je n’ai pas envie de jouir dans ta bouche, du moins pas maintenant. Lève-toi et tends ton cul !

 

Elle se positionne de dos, face à moi, se penche en avant du mieux qu’elle peut et écarte ses fesses de ses deux mains. Délicatement, je tire sur le gode noir en forme de grenade. Il vient à moi doucement et, alors qu’il allait sortir, je le pousse d’un coup sec jusqu’au bout.

—    Han !

 

Je refais ce brutal va-et-vient à plusieurs reprises. Enfin, quand elle cesse d’émettre la moindre plainte, je lui retire entièrement l’accessoire :

—    Écarte mieux !

 

Elle est largement ouverte. Ne m’étant pas rajusté, le sexe tendu, je suis prêt à la pénétrer. Je serre mes jambes et je les passe entre les siennes :

—    Empale ton cul sur mon sexe !

 

Elle recule pour mieux se rapprocher de ce dernier alors que je la guide en lui tenant les hanches. Elle saisit d’une main ferme ma verge tendue comme un string et la guide entre ses reins. Sans effort, elle glisse dessus tout naturellement, me laissant s’enfoncer en elle sans forcer. Je lâche ses hanches la laissant entamer ses va-et-vient, avant de reprendre mon verre pour le finir.

Hum, comme il est doux de se laisser aller ! La vue de ces fesses qui s’empalent me fait me durcir davantage. El Diablo est à son comble :

—    T’as pas ton pareil pour te mettre en appétit à l’apéritif ! Mate-moi ce cul ! T’as vu comme elle te l’a bien préparé ? Elle est méritante cette petite, elle y met vraiment du sien pour te plaire.

—    Je vois ça, et j’en suis très satisfait. Au-moins je lui aurais remonté le moral. Je suis sûr qu’elle ne pense plus à la rupture avec son ex !

—    J’avoue que tu as l’art et la manière de lui changer les idées ! Elle ferait une excellente candidate à un gang bang !

—    L’idée m’excite !

—    La livrer à dix, quinze, vingt hommes ! Ils la prendront en tous sens. Elle te suivra, et tu la fouetteras pour avoir donné du plaisir à d’autres hommes sur ton ordre.

—    Je sais Diablo…

—    … et elle aimera ça, tu verras. Pour l’instant, montre lui qui est son Maître, écarte-lui donc les fesses, ça te fera aller plus loin en elle. Allez, vas-y, elle va aimer !

 

Estimant que l’idée est bonne, je pose mon verre et, alors qu’elle poursuit ses allées et venues en glissant aisément sur ma verge inondée de cyprine due à mon excitation, je passe mes mains sous son corps et s’écarte les deux globes. L’effet est immédiat !

—    Han ! Oh oui !

 

Elle accélère le mouvement mais je vois qu’elle commence à fatiguer.

—    Arrête-toi. Reste empalée, ressers-moi un verre et bois un coup.

 

Bien prise, elle assure le service en évitant de trop se pencher :

—    Je suis bien comme ça. J’aime te sentir en moi.

 

Je trempe deux doigts dans mon verre de whisky et je lui caressai le clitoris :

—    Oh putain mais c’est trop bon ça !

—    Masturbe-toi au whisky de temps en temps, tu m’en diras des nouvelles !

 

Elle boit une gorgée et reprend ses va-et-vient se penchant davantage en avant. J’ai une vue imprenable ! Un cul magnifique qui est en train de s’enfiler sur ma queue dure comme du béton. Je lui tire sur la tresse pour qu’elle vienne se plaquer à moi et je lui murmure à l’oreille :

—    Tu aimes ce que je te fais !

—    Oui, encule-moi encore et encore. Mon cul sera toujours à ta disposition, alors sers-toi. Je veux te servir, te donner du plaisir. Te faire bander c’est me sentir belle. Te faire jouir c’est me faire désirer.

—    Putain, tu m’excites, toi, c’est pas possible, ça ! Je vais jouir, avale !

 

Elle se désarçonne, pivote sur elle-même, et s’agenouille juste à temps pour me recevoir dans sa bouche. Plusieurs longs jets m’échappent, provocant une décharge électrique tout au long de ma colonne vertébrale. Consciencieuse et gourmande, elle n’en perd pas une goutte :

—    Putain t’es trop bon toi, t’es toujours sucré !

—    Tu as bien mérité que je te fasse jouir !

—    Je m’en fiche, j’éprouve plus de plaisir à te satisfaire. Ça, c’est une chose que tu ne peux pas comprendre, l’adrénaline qui monte quand tu ordonnes et que je t’obéis, et enfin le résultat de toute cette servitude : ta jouissance, MA victoire.

—    Wouah, c’est beau ce que tu viens de dire !

23 mai 2015

Pour me suivre en tournée (mise à jour régulière)

Msg FB012

23 mai 2015

A VENDRE - EXTRAIT N°2

Allez, un nouvel extrait de A Vendre (l'entre-deux)  

A Vendre006

Pour vous remémorer les personnages, petits rappels:  

- Jules, c'est le facteur, celui qui a sonné à la porte de Max le jour où il a fait son malaise. C'est un pote, ils aiment se retrouver pour faire des barbecues. Dans A Vendre, on en apprend plus sur ce personnage; c'est un grand sénégalais qui n'arrête pas de mettre sa femme, Adiouma , enceinte. 7 gosses, elle en attend 1 huitième. Max ne se souvient pas des prénoms, alors il les a numérotés de Un à Sept.  

- Luka c'est l'agent et ami de Max. Emma est la femme de Luka.  

- Enfin Kholhy, c'est l'infirmière qui a sauvé la vie de Max dans Je t'Aime Moi Non PLus en contredisant le diagnostic du médecin qui le laissait pour mort. Depuis, ils sont très amis avec des rapports tendancieux, difficiles à comprendre... je ne peux pas vous en dire plus.  

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La scène présentée aujourd'hui: Jules organise un barbecue chez lui avec toute la bande d'amis.

Tout le monde rit de bon cœur alors qu’un morceau de rap vient nous casser les oreilles. Il faut bien que jeunesse se passe ! A l’unanimité on leur a généreusement accordé vingt minutes de cette musique qui n’en est pas une pour nous, les vieux. Numéro Cinq s’entraîne à marcher sur les mains sous les applaudissements des petits, Numéro Six et Sept.

Les premières merguez se retrouvent rapidement sur la grille avec des ailerons de poulet à la mexicaine. Puis, Jules qui a fait envelopper des patates dans du papier aluminium par les enfants, en jette quelques unes dans les braises. Ça sent bon, je suis bien. La proximité du barbecue fait monter la température. Je sors un mouchoir de ma poche pour m’éponger le front. Luka débouche deux bouteilles de Bordeaux :

—    Chacun se sert, je ne ferai pas le service !

 

Les conversations vont bon train. Emma ne décolle plus son mari. Je les trouve beaux et j’en fais part à Kholhy :

—    J’aimerais bien être comme eux mais la seule femme que j’ai trouvée pour faire un bout de chemin ne veut pas de moi.

—    J’ai pas dit ça. Je t’ai simplement dit que tant qu’il y aurait un obstacle, je ne me risquerais pas à avoir une liaison avec toi.

—    Tu as raison, ça doit être tellement plus palpitant de se taper les toubibs de l’hosto !

 

Je n’ai pas vu arriver la gifle, mais je l’ai sentie. Elle a claqué si fort qu’elle a couvert les bruits ambiants en jetant un froid dans l’assistance. Je regarde Kholhy, éberlué en me frottant la joue. C’est la première fois qu’elle me gifle, et je n’aime pas ça, bien évidemment. Elle se lève et déclare :

—    Je suis désolée, j’ai dû boire plus que de raison. Je préfère vous laisser et je vous présente mes excuses pour avoir cassé l’ambiance.

 

Elle tourne les talons et nous laisse à notre soirée. Emma vient s’asseoir à mes côtés pour essayer de savoir ce qu’il s’est passé, tout comme les autres qui me dévisagent, interrogatifs.

—    Ben quoi ? Ce sont des choses qui arrivent entre amis, non ?

—    Justement, non, me dit Luka. Tous les deux, je ne vous reconnais plus ces derniers temps. Que se passe-t-il ?

—    Je n’en sais rien, et sincèrement, si toi tu arrives à comprendre les choses, je serais le premier à être heureux pour que tu me les expliques. Je ne peux plus discuter avec elle.

—    Tu lui as dit quoi pour qu’elle réagisse comme ça ?

—    Je ne peux pas te le dire, c’est personnel.

—    Ouais, ben vu sa réaction, excuse-moi Max, mais ça ne devait pas être très flatteur.

—    Sans doute.

 

J’essuie de nouveau la sueur qui perle sur mon front et les conversations reprennent. Je regarde la petite tribu qui s’était arrêtée de jouer. Je les aime ces gosses :

—    Amusez-vous les enfants, ce n’est pas très grave. Juste une petite dispute entre deux adultes qui s’aiment bien. Ce sont des choses qui arrivent.

—    Tu veux des glaçons pour mettre sur ta joue rouge, tonton Max ?

—    Non, merci Numéro quatre. Vous êtes tous très gentils avec moi. Allez jouer, oust !

 

La musique reprend et les gamins font repartir l’ambiance avec leurs acrobaties, leurs rires et leurs pitreries. Emma paraît vraiment ennuyée. Elle passe sa main avec douceur sur la joue meurtrie avant de me dire :

—    Max, j’aimerais tant pouvoir t’aider. Tu veux que je lui parle ?

—    Non ça ira Emma, je te remercie.

—    Je ne sais pas ce qu’il s’est passé et, te connaissant, par ce geste elle a dû blesser l’orgueil du coq que tu es. Mais, j’aimerais que tu te dises qu’elle doit être très malheureuse car si elle a eu ce réflexe, c’est parce que tu l’as blessée.

—    Mais d’habitude c’est le genre de conneries qu’elle tourne en dérision !

—    Peut-être mais là, les choses sont différentes.

—    En quoi ?

—    Elle est amoureuse, c’est évident.

—    Elle a une façon plutôt violente de le montrer, non ?

 

Elle me sourit et me sert un verre de vin qu’elle me tend :

—    Tiens, ça te fera du bien.

 

J’adore ce sourire. Dommage qu’Emma soit l’épouse de mon meilleur ami. Je prends le verre et j’en bois une gorgée :

—    C’est une femme comme toi qui m’aurait fallu. Malheureusement Luka t’a rencontré avant moi.

—    Tu as beaucoup mieux que moi sous la main : Kholhy.

—    Elle est trop compliquée. J’abandonne, je jette l’éponge. Elle est allée trop loin ce soir.

—    Qui est allé trop loin, Max ?

 

 

 

23 mai 2015

A VENDRE - EXTRAIT N° 1

Un premier extrait de "A Vendre", l'entre deux que je suis en train d'écrire:

A Vendre005

14h30, je descends de ma voiture en claquant la portière. Le gravier crisse à chacun de mes pas. Arrivé à la hauteur de la Renault, j’ouvre la porte arrière droite et je m’engouffre sur la banquette. Personne n’est assis à l’avant. Seule une jeune femme, silencieuse, les yeux bandés, se trouve à mes côtés, comme si elle m’attendait. Tout ce qui va suivre doit se passer sans un mot; ni de ma part, ni... de la sienne.   Elle me paraît vraiment jeune cette femme. Je ne sais pas quel âge elle peut avoir mais chez elle tout semble si neuf, si pur, si innocent. Elle ne doit pas dépasser les 26-27 ans. Moi qui suis habitué à séduire des quadras, j’ai tendance à qualifier de jeunes toutes les femmes de moins de 30 ans. Elle a de longs cheveux noirs, lisses, brillants et une peau mate. De grosses boucles rondes, en or, pendent à ses oreilles. Autour du cou, elle porte une chaîne au bout de laquelle une main de Fatma est accrochée. Enfin, un collier de cuir enserre son cou : dans notre milieu, c’est le symbole de l’appartenance à un Maître. Typée, elle est sans doute d’origine nord africaine. J’aimerais bien voir ses yeux, mais cela m’est interdit et je le sais. Je n’ai pas le droit de toucher au bandeau. Jamais la fille ne doit savoir qui est monté dans la voiture ce jour-là.   Elle a de belles formes. Une fille bien faite. Pourvue d’un généreux décolleté, elle porte une robe rouge qui lui arrive à mi-cuisses. Doucement, je pose mes mains sur ses genoux et j’écarte ces derniers. Je remonte sa robe le plus haut possible : elle ne porte rien en dessous, et j’aime ça. Je pose une main sur son sexe lisse. Elle serre ses cuisses, comme par réflexe. Je les lui claque alors violemment du plat de la main. Docile, elle ouvre d’elle-même ses jambes. Je reprends les choses en mains en les lui écartant exagérément. Elle se laisse faire. Je poursuis mon intime caresse. Curieux, je me penche en avant pour l’examiner de plus près. Le bord de ses lèvres roses porte une nervure sombre dessinant ainsi très précisément la crête des petites lèvres. Elle est vraiment très belle. J’introduis un doigt et fais quelques va-et-vient. Puis je le sors, le porte à mon nez pour le sentir. Il dégage une odeur épicée, une véritable invitation à une dégustation sans modération. Je promène mon doigt sur ses lèvres qu’elle entrouvre, me permettant ainsi de l’insérer dans sa bouche afin qu’elle me le lèche. Sa langue est d’une douceur extraordinaire, tout comme sa peau. Connaissant Jonas, je pense qu’il a jeté son dévolu sur cette jeune femme parce qu’elle présente tant de pureté qu’il prendra un malin plaisir à la pervertir.

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